What are Public-Private Partnerships (P3s)?

En quoi consistent les partenariats public-privé?

Public-private partnerships, or P3s, are partnerships between governments and the private sector to build public infrastructure like roads, hospitals or schools, or to deliver services. Unlike traditional procurement, the public sector integrates all parts of a P3 project into one contract. Depending on the preferred P3 model, this approach requires the architect, the builder, the lender and the maintenance and/or operations provider to form a team.

How do P3s work?

Where the business case supports it, P3s are used to deliver an infrastructure project or to deliver multiple infrastructure facilities and services across a region. P3s are used to build and expand roads, bridges, hospitals, water treatment plants, transit systems, schools and justice facilities.

The public sector always owns the infrastructure. The government determines when and where to build the project, its scope, and its budget. The public sector also uses a competitive process to select the best team of private sector companies to design, build, finance, maintain and/or operate the public infrastructure or service.

The private sector determines its team members in the consortium to deliver the P3 infrastructure project.

Depending on the project’s scope and size, the consortium may include one or more architects, constructors, lenders and financial institutions, and maintenance and operation providers.

Why use P3s?

This alternative model is proving public infrastructure can be delivered sooner and more cost-effectively than in a conventional delivery model, providing better value for money.

Historically, public infrastructure projects have experienced cost overruns and delays. That’s because the conventional arrangement leaves the government responsible for project risks that add time and money to an infrastructure project. Cost overruns are rare on P3 projects, as this approach allocates risks and responsibilities to the public and private sectors based on their areas of expertise. For example, the public sector bears the risk for changes in laws and the private sector bears the cost of construction delays.

P3s also deliver better designed facilities that are well-maintained during the contract term, which could be from 15 to 30 or more years.

See the myths and facts for some common questions and misconceptions about P3s.

Les partenariats public-privé, ou P3, sont des partenariats entre les gouvernements et le secteur privé visant la construction d’infrastructures publiques comme des routes, des hôpitaux ou des écoles, ou la prestation de services. Contrairement aux méthodes conventionnelles, le secteur public intègre tous les composants d'un projet P3 dans un seul et même contrat. Dépendamment du modèle de P3choisi, cette approche implique que l'architecte, le constructeur, le créancier et le fournisseur de l'entretien et/ou l’exploitant forment une équipe.

Comment fonctionnent les P3?

Lorsque le projet d'étude le justifie, on a recours aux P3 pour concevoir un projet d'infrastructure ou pour construire plusieurs infrastructures et offrir des services dans une région. On établit des P3 pour construire et agrandir des routes, ponts, hôpitaux, stations d'épuration, systèmes de transport, écoles et établissements judiciaires.

Le secteur public demeure propriétaire de l'infrastructure. Le gouvernement détermine quand et où construire le projet, son envergure et son budget. Le secteur public a recours à un processus concurrentiel pour choisir la meilleure équipe d'entreprises du secteur privé en vue de la conception, de la construction, du financement, de l’entretien et/ou de la gestion l'infrastructure ou du service.

Le secteur privé désigne les membres de son équipe dans le consortium pour réaliser le projet d'infrastructure du P3.

Selon la taille et l'envergure du projet, le consortium peut également inclure un ou plusieurs architectes, des entrepreneurs, des créanciers, des institutions financières et des fournisseurs de services d'entretien et d’exploitation.

Pourquoi utiliser les P3?

Ce modèle alternatif prouve que l'infrastructure publique peut être réalisée plus rapidement et à un meilleur prix que le modèle de réalisation traditionnel, permettant ainsi d'optimiser les ressources.

Traditionnellement, les projets d'infrastructures publiques dépassent le budget fixé et prennent du retard. Ces situations se produisent car le gouvernement est responsable des risques du projet avec le modèle de réalisation traditionnel, ce qui entraîne des délais et des coûts supplémentaires pour le projet d'infrastructure. Les projets de P3 dépassent rarement les budgets alloués, étant donné que cette approche répartit les risques et les responsabilités entre les secteurs public et privé en fonction de leur champ d'expertise. Par exemple, le secteur public assume les risques liés aux changements de législation et le secteur privé assume les risques liés à l'augmentation des coûts suite aux retards des travaux.

Les P3 permettent également d'offrir des installations mieux conçues et bien entretenues pendant toute la durée du contrat, qui peut durer de 15 à 30 ans ou plus.

Consultez la rubrique mythes et réalités pour connaître certaines des questions les plus courantes et idées reçues à propos des P3.

P3s Explained

How is Risk Assessed?

Risk transfer is a key element in assessing value for money in public-private projects. How is risk assessed in traditionally procured projects – i.e., infrastructure projects that are overseen and managed by the public sector?

What Drives Value for Money?

What drives value for money for taxpayers in public-private partnerships? Derron Bain, Senior Vice President at Concert Infrastructure Ltd. says P3s drive proper risk allocation; they drive getting the schedule right, and allow for technical and financial innovation.

What Makes P3s Different?

What does the P3 model bring to complex infrastructure projects? “There’s a very, very high level of due diligence that’s undertaken on these projects that you wouldn’t see on other projects,” said Michael Gabert, BTY Group.